Installée dans son petit atelier, libérée de toute entrave, elle rêve «des images» d’origine inconnue; alors sa passion, la sculpture, lui offre un champ fertile pour leur donner forme.
Son personnage dégage une saine tranquillité positive, de la simplicité et son regard profond invite à une réflexion sereine.
Mais Catherine Webb est une vraie «saltimbanque». Où faut-il en chercher la cause? Ce sont sans doute ses parents, créateurs inspirés, qui l’auront influencé ainsi que son parcours d’enfant qui suit la famille dans ses nombreux déplacements, intégrant temporairement des écoles à Londres, Lisbonne, La Haye, Istanbul, aux USA, en Argentine, au Panama. Elle apprend comme cela plusieurs langues, se délecte de la lecture de romans de «science-fiction» puis développe aussi son goût pour les jeux, les sports, le tennis, la plongée, la danse. Certaines rencontres seront décisives dans son parcours et dans son évolution.
Grâce à une amie, elle découvre son «art», en 1991 à Istanbul dans l’atelier privé de Maître Irfan Korkmazlar …