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A Paris Ya habibi !*

*A Paris, mon amour !

« Le jour où je suis arrivée à Paris, j’ai été fascinée par la richesse de sa population issue de tous horizons et par l’énergie qui se dégageait de ce mélange de cultures. Moi qui avais déjà beaucoup voyagé à travers le monde, j’ai tout de suite été happée par la singularité de Paris et son sens de la fête. Depuis ce jour j’y ai posé mes valises. Alors aujourd’hui plus que jamais, il me tient à cœur de célébrer la joie de vivre à Paris. »

La messe est dite!  En guise de préambule à la sortie imminente de son nouvel album (Baila), Ishtar choisit, pour son premier single, de rendre hommage à sa ville de coeur.

Rappelez-vous… “Salma ya Salama” ou “Alabina” ! Ishtar, chanteuse israélienne aux multiples racines, s’y entend en matières de réjouissances et en a fait danser plus d’un an au fil des années, soit seule (elle chante depuis l’âge de 15 ans!) soit avec son groupe Alabina.

A Paris Ya habibi!

Son répertoire très éclectique mêle ses origines arabes, juives et espagnoles à des sonorités gitanes (origine de certains membres du groupe Alabina) ou latines, sur des sons dance, électro ou de variétés et ce savant mélange “pop oriental” fait fureur sur les dancefloors du monde entier, toutes cultures mélangées.

A Paris”, réalisé par Matthieu Mendès,  parle de fiestas, d’envies, de magie et d’allégresse sur des rythmes envoûtants comme à son habitude. Cela promet encore de belles parties endiablées.

En attendant l’album, voilà de quoi se dégourdir les jambes et oublier les soucis du quotidien, le temps de quelques notes!

L’été sera parisien ou ne sera pas !

A Paris, Alabina, dance music, fête, Ishtar, Matthieu Mendes, Salama ya salama, techno musique


Patricia Etifier

Butineuse épicurienne, caraïbéenne cosmopolite, éco-citoyenne du Monde, femme de l’écrit, je suis amoureuse du genre humain dans sa diversité et perpétuellement en quête de sens car “Dans la vie, rien n’est à craindre, tout est à comprendre”. (Marie Curie) En marche pour voir se réaliser l’avènement de la Nouvelle Humanité où les femmes prendront la place qui est la leur et deviendront “les héroïnes de leur propre légende”. Et pour paraphraser Roger Baldwin “Elle possède des droits celle qui ose les défendre”!