“Son nom brille comme un soleil et l’astre de feu, c’est justement lui qui lui donne cette scintillance. Maya est une femme méditerranéenne, certes née à Meudon, mais fille de parents aux racines tunisiennes. Elle se définit elle-même comme une chanteuse franco-judéo- arabe, et son plus cher désir est de marier l’Occident et Orient à la fois dans ses textes et dans ses musiques.
La rencontrer dans la vie, au quotidien, c’est un moment de grâce, lié à son sourire généreux, à son regard qui semble percer votre âme, à son physique avantageux dont la féminité extrême vous rappelle à l’instant toutes les femmes que vous avez pu aimer sans limite dans votre vie, que ce soit vos sœurs, vos mères ou vos folles passions de mille ou une nuits. Maya, c’est “La” femme ! Elle respire l’amour le plus pur, le plus vrai, et vous comprenez que vous avez envie de faire immédiatement partie de sa vie. Et vous vous sentez déjà beaucoup plus heureux. La voir et l’écouter sur scène, c’est oublier la réalité et entrer dans son monde où le chant aux accents orientaux mêlés à des tonalités occidentales, vous promène de l’amour, bien sûr, à la mise en valeur de la pensée féminine, face au monde dominé par la gent masculine. C’est de la tendresse et de la force cachée dans un monde de brutes…adorées!
À l’heure où les femmes sont toujours si peu considérées dans tant de pays, avec une parole souvent inaudible, celle de Maya, joyeuse, est comme un soutien indéfectible à ses consœurs. Elle le délivre sur des compositions qui reposent sur ses goûts éclectiques, puisant avec passion dans les musiques du monde, du raï au rap et au slam, du jazz au gospel, du blues à la variété, d’Oum Kalsoum à Édith Piaf, en passant par Georges Moustaki, Enrico Macias, Georges Benson, Shakira et même Claude François. Mais sa première muse est depuis toujours Dalida, avec laquelle elle se sent en osmose artistique, de par l’essence égyptienne de la star disparue, avec cette volupté incandescente qui la caractérisait… Qu’elle chante en français, en anglais, en arabe, en hébreu et même en lingala, une langue du Congo, Maya est partout chez elle et vous fait visiter son monde…”