« No badja » avec Zalyka
Percutant et festif, « No badja », dernier album (troisième après Follow your dreams, en 2010, et Adoro Viajar, en 2017) de Zalyka nous introduit d’emblée dans les climats torrides de la belle époque de la percée internationale de la musique africaine à la fin du millénaire, entre les années 1980 et 2000.
Point d’hasard, car dans cette nouvelle aventure, la chanteuse née en France d’une famille originaire de la Guinée-Bissau a invité en studio certaines parmi les pointures protagonistes de cette période emblématique. En 12 titres, « No badja » est une invitation irrésistible à la danse. L’artiste a bien voulu répondre aux 3 questions de FP. Rencontre.
Bientôt le grand retour de Zalyka avec un troisième album “No Badja” – Un titre en créole portugais- qui est une véritable invitation à fêter et à danser. Quelques mots sur ce nouvel album ?
C’est un album qui laisse le soleil entrer dans le cœur et donne le sourire. On en a besoin par ces temps troublés. C’est pour cela que j’ai souhaité faire un album qui j’espère déclenchera une pluie d’ondes positives.
Vous avez collaboré avec de grands noms de la musique africaine pour réaliser un beau produit, mais très éclectique. Vous n’avez pas peur de surprendre vos fans de la première heure ?
Oui en effet ! J’ai eu la chance d’avoir de grands noms de talent qui m’ont fait l’honneur de participer à ce nouvel opus, je ne les remercierai jamais assez. Je n’ai pas peur de surprendre mes fans car ceux qui me suivent savent que j’aime toucher à différents styles musicaux. Ils savent que j’aime surprendre et me renouveler !
Vous produisez vos albums seule. Quels conseils donner à une jeune qui voudrait se lancer comme vous et éviter certains écueils
Je conseille de rester le plus authentique possible, ne pas essayer de copier des styles uniquement pour suivre la mode. Il est essentiel de faire une musique qui nous convient afin de pouvoir la défendre.
Afro zouk, gospel, Musique du Monde, No badja, Zalyka